Jour 10

Faites cet exercice 3 à 5 fois dans la journée :

Après une expiration normale, vous inspirez en activant une sensation de calme et de détente, puis vous expirez lentement en diffusant ce calme et cette détente dans tout votre corps.

Recommencez au moins 5 nouveaux cycles de respiration avant de respirer à nouveau normalement.

Inspiration et expiration s’effectuent calmement sans forcer.

 

Prenez soin de vous !

Victor,

« La cohésion, c’est le premier facteur de performance »

Entretien de Nathalie Crépin réalisé pour Ouest-France et publié le 6 avril 2020.

La cohésion d’un groupe implique-t-elle la nécessité d’être ensemble ?

La cohésion suppose de rester uni dans l’attente d’un objectif final. Pour y parvenir, le contact est nécessaire, mais pas seulement. Car on distingue deux types de cohésion. Il y a la cohésion sociale, qui repose sur l’ambiance et l’envie de bien vivre ensemble, ce qui requiert un minimum d’inter-relations. Et il y a la cohésion opératoire, celle qui rassemble par un objectif commun.

La cohésion sociale est-elle essentielle à la cohésion opératoire ?

On a tendance à dire qu’elle interfère sur la performance. En fait, les études montrent l’inverse. Même s’il faut une certaine homogénéité entre les deux, ce qui prime, c’est la cohésion opératoire. Vous pouvez très bien ne pas vous entendre en dehors du terrain, mais être efficaces et performants.

Ce qui importe, c’est donc d’avoir un objectif commun ?

C’est essentiel. Comme il est primordial de partager une même idée des tâches à accomplir, de toute la logistique autour de la réussite et pas forcément sur l’ambiance du vestiaire. Aller au ciné ensemble, les jeux pour se mettre en situation et créer une cohésion… Ça reste des événements créés de toute pièce, assez artificiels, qui ne favorisent pas une cohésion de manière pérenne.

Avec le confinement, comment maintenir une cohésion ?

Il faut fixer des objectifs communs. Le coach ne doit pas forcément être impliqué, c’est davantage à l’ensemble de l’équipe de les partager. Et ce n’est pas évident quand il n’y a pas de compétitions.

On peut encore former une équipe sans se voir ?

La cohésion, dans la performance d’une équipe, c’est le premier facteur. Ne pas la maintenir, c’est risquer de perdre en efficacité. C’est important de continuer de la travailler, même en dehors de tout relationnel. Le but, c’est de conserver ce lien. Ça peut être des séances d’étirement par visio-conférence, par exemple. Ou la réalisation d’un reportage photos sur les deux dernières saisons de l’équipe, pour faire ressortir des éléments qui la structurent. On peut aussi se servir du confinement comme d’un temps fort, en amenant chacun à se demander quelle force il en retire.

Il ne faut pas que les craintes individuelles l’emportent ?

On doit pouvoir exprimer ces émotions individuellement, mais dans le souci d’une expression collective. Il faut continuer d’être porté sur des objectifs communs pour ne pas se cristalliser sur l’instant présent, particulièrement anxiogène. En période de confinement, le risque accru, c’est l’individualité. Or, même dans les sports individuels, aujourd’hui, on travaille sur le collectif. En athlétisme, très peu d’athlètes s’entraînent seul. On se sert du groupe comme d’une véritable dynamique. Le collectif, c’est un vrai moteur.

Article rédigé par Jean-Marcel Boudard, Mathieu Coureau et Julien Soyer pour Ouest-France.

Retrouvez l’article: ici

Jour 9

Faites cet exercice 1 ou 2 fois dans la journée :

Assis ou allongé, les yeux fermés :

Prenez successivement conscience pendant 20 secondes d’une partie de votre corps. A chaque fois que votre attention se met à vagabonder, ramener la délicatement à votre corps. Juste à l’écoute de votre corps.

  • Les pieds, les jambes, les fessiers.
  • Le ventre et de la poitrine.
  • Les lombaire (bas du dos) et le dos.
  • Les mains, les bras, les épaules.
  • Le coup, le visage (mâchoires, yeux, front) et de la tête.
  • Le corps tout entier.

 

Prenez soin de vous !

Victor,

Jour 8

Faites cet exercice 3 fois dans la journée pendant au moins 3 minutes :

Assis ou allongé, les yeux fermés :

Vous prenez conscience de votre respiration en suivant le cheminement de l’air qui entre et qui sort de votre corps. Sentez la douce ondulation que votre souffle dessine au sein de votre corps. Laissez-vous porter, laissez-vous bercer par le flux et le reflux de votre respiration. Et à chaque fois que votre attention se met à vagabonder, ramener la délicatement à votre respiration.

 

Prenez soin de vous !

Victor,

Jour 7

Expérimentez cette routine de 4 minutes environ 1 ou 2 fois dans la journée :

  1. Asseyez-vous et fermez les yeux.
  2. Détendez votre nuque en tournant lentement votre tête de droite à gauche 5 fois.
  3. Expirez à fond et restez en apnée poumons vides pendant 5 secondes.
  4. Inspirez par le nez et expirez par la bouche lentement 5 fois.
  5. Faites une grimace horrible pendant 5 secondes.
  6. Relâchez le visage pendant 10 secondes.
  7. Après une expiration normale, vous inspirez par le nez et en apnée poumons pleins, vous contractez tous les muscles de votre corps pendant 5 secondes.
  8. Expirez en relâchant tous vos muscles, respirez lentement et laissez les tensions s’estomper pendant 20 secondes.
  9. Souriez bien franchement pendant 10 secondes.
  10. Prenez conscience du calme qui s’installe en vous pendant 20 secondes avant de reprendre le cours de votre journée.

Prenez soin de vous !

Victor,

Cohésion Jour 5

Comment maintenir une cohésion, une relation forte et des liens en temps de confinement ?
La cohésion est la capacité à rester unis et soudés pour atteindre un objectif commun. Alors comment rester soudés, unis sans pouvoir se rassembler et avoir des contacts directs ?
Nous vous proposons une pratique pour maintenir une cohésion dans l’équipe.
  • 5ème pratique : Envoyer une attention à l’un des membres de l’équipe.
L’équipe du C.R.O.P.S.

Cohésion Jour 4

Comment maintenir une cohésion, une relation forte et des liens en temps de confinement ?
La cohésion est la capacité à rester unis et soudés pour atteindre un objectif commun. Alors comment rester soudés, unis sans pouvoir se rassembler et avoir des contacts directs ?
Nous vous proposons une pratique pour maintenir une cohésion dans l’équipe.
  • 4ème pratique : le lundi de chaque semaine, partager l’émotion ressentie sous forme de météo. Par exemple, aujourd’hui : samedi, le soleil est présent même si le vent rafraichit l’air.
A très vite !
L’équipe du C.R.O.P.S.

Jour 6

Faites cet exercice 3 fois dans la journée :

Assis les yeux fermés.

Expirez normalement puis, inspirez en gonflant le ventre comme s’il était un ballon et expirez lentement en rentrant légèrement le ventre. Recommencez 3 nouveaux cycles de respiration avant de respirer à nouveau normalement. Inspiration et expiration s’effectuent calmement sans forcer.

Avant d’ouvrir les yeux, répétez 5 fois, pour vous, dans votre tête la phrase suivante : « Lorsque j’ouvrirai les yeux, je serai calme et en forme pour continuer ma journée dans de bonnes conditions ».

Enfin, bougez les mains, les pieds, la tête, baillez, étirez-vous pendant quelques secondes et ouvrez les yeux.

L’exercice n° 7 vous aidera à réguler vos émotions et évacuer les tensions physiques et mentales…

Prenez soin de vous !

Victor,

C.R.O.P.S.

Cohésion Jour 3

Comment maintenir une cohésion, une relation forte et des liens en temps de confinement ?
La cohésion est la capacité à rester unis et souder pour atteindre un objectif commun. Alors comment rester souder, uni sans pouvoir se rassembler et avoir des contacts directs ? Nous vous proposons une pratique pour maintenir une cohésion dans l’équipe.
  • 3ème pratique : Chacun envoi par téléphone ce qu’il peut apporter à l’équipe pendant cette période de retrait et d’isolement de l’équipe.
A très vite !
L’équipe du C.R.O.P.S.

Jour 5

Faites cet exercice 3 fois dans la journée :

Assis les yeux fermés.

Après une expiration normale, inspirez profondément par le nez et bloquez votre respiration pendant 3 à 5 secondes environ. Puis expirez lentement en relâchant tout votre corps et en prononçant intérieurement le mot « calme » ou la phrase « je me détends ».

Retrouvez une respiration libre mais lors des 3 à 5 expires qui suivent continuez à relâcher tout votre corps en prononçant intérieurement le mot « calme » ou la phrase « je me détends ».

Pour terminer bouger les mains, les pieds, la tête, baillez, étirez-vous pendant quelques secondes et ouvrez les yeux. Placez-vous en position assise (si vous êtes allongé) et après quelques secondes, relevez-vous lentement.

Prenez soin de vous !

Victor,

C.R.O.P.S.